.Même la présidente du CONOR, Mariam Dao Gabala, qui a donné cette information n'ose plus en parler, tant elle a été maltraitée de toutes parts par l'opinion.

A propos de l'autobus des Eléphants, ce n'est pas un scoop à propos du chauffeur. Le frère de Sory Diabaté est chauffeur de ce bus depuis 2007, date de sa mise en service. Il a été recruté par un instructeur Allemand  devant  3 autres candidats. 

Le besoin en carburant est inscrit dans le budget par le manager général et validé par le Directeur exécutif. Saïd Penda ne sait absolument rien de ce processus. 

Les 579 millions Fcfa, dont parle Saïd  Penda ne faisaient t-ils pas partie des fonds certifiés par le Commissaire aux comptes?

Les comptes 2020 ont été validés par la patronne du CN-FIFavant d'être certifiés par le Commissaire aux comptes. Gabala a, donc validé des comptes avec 579 millions FCFA payés sans justificatif. Quand, comment et à qui ont été payés ces fonds?  Cela n'étonne pas Saïd Penda , quand on sait qu'il y a peu, certains faisaient croire que le car regie a coûté 1 milliard. FCFA. Avant qu'ils ne la ferment après avoir reçu du Commissaire aux comptes, lors de l'AG du 25 février, une leçon d'ingénierie financière sur le lease-back et le crédit-bail. Tous les agitateurs ont fermé ce dossier.

Saîd Penda, tu tentes maladroitement de salir Sory Diabaté pour aider ton candidat, Didier Drogba. Peine perdue, parce que les clubs et groupements d'intérêt le connaissent pour l'avoir pratiqué depuis plus de 20 ans. C'est pourquoi, même absent de la salle de l'AG du 25 février, dans l'incapacité de défendre leur gestion, 44 clubs et groupements d'intérêt ont approuvé les comptes 2020, avant que 42 leur accordent le quitus.

On constate que Saïd Penda ne  comprend rien au monde du football ivoirien et devient de plus en plus ridicule.

Après ses échecs répétés et infructueux dans ses tentatives de faire couler des structures et personnalités du pays, il  cherche à se refaire une image dans le football. Mais dans ce milieu, il est encore à la maternelle.

La peur de voir Sory Diabaté candidater et enlever à son favori toute chance de victoire l'ebranle tant, qu'il ne sait même pas que certains des sujets qu'il brandit  comme arme fatale ont déjà coulé leus initiateurs.

Alors, Saïd Penda, retourne à la politique pour ta mission de journaliste mercenaire et alimentaire. Tu crois endormir en citant à chaque fois le président Alassane Ouattara.

 Le président, c'est nous les ivoiriens qui l'avons élu. Pas toi. Nos comptes, nous les réglons entre nous. Si problème il y a sur les fonds publics, les autorités, à travers les entités qui existent sauront prendre les mesures qui s'imposent.

Pauvre mercenaire, en mal de publicité, range ta plume, à jamais.