La Seleção, qui se projette sur un sixième titre mondial, est moins inquiète d’affronter la Nati que de la blessure à la cheville de sa superstar. Murat Yakin, lui, ne nie pas le frisson d’affronter une équipe sur laquelle il a fait des exposés à l’école.
Le proverbe invite à ne jamais parler des absents. Il a bien fallu faire une exception à la veille de la rencontre qui met aux prises, lundi à 17 heures, la Suisse et le Brésil. Neymar ne foulera pas la pelouse du stade 974 de Doha après s’être foulé la cheville contre la Serbie jeudi, et il n’y a guère que ce forfait qui semble intéresser le pays du futebol.