Si la FIFA avait des griefs contre Sory Diabaté, le premier vice-président du Comité exécutif sortant de la FIF, elle ne l'aurait pas invité, officiellement, à  prendre part à la  cérémonie qu'elle a Co-organisée avec la CAF, ici à Abidjan, lors de la visite de son président, Gianni  Infantino. Par ailleurs, l'organisation basée, à Zurich, en Suisse, ne serait pas venue dire au chef de l'État, Alassane Ouattara, son souhait ainsi que celui de la CAF de voir tous les candidats aller vers l'unité ou le consensus.

A la vérité, la mise sous normalisation est un acte administratif et  non une sanction disciplinaire.

Dans l'une des associations membres de la FIFA, tout le comité exécutif a démissionné. L'institution dirigée par L'Italo-Suisse a nommé un comité de normalisation pour pallier cette vacance à la tête de cette fédération. Est-ce qu'il y a eu une faute disciplinaire? Non, non et non!!!!!

Les sanctions disciplinaires, que peut prendre la FIFA, relèvent de sa commission de discipline et d'éthique et non du conseil de la FIFA. Pour rappel, c'est le  conseil de la FIFA qui a pris la décision de mettre la FIF sous tutelle.