Alors qu'on pensait que la présidente du CONOR, qui se plaignait du très grand nombre d'employés qu'elle a trouvés à la Fédération de football, allait s'atteler à réduire l'effectif qu'emploie l'instance dirigeante du ballon rond local qu'elle dirige, cette dernière n'a pu joindre l'acte à la parole. Au contraire, elle a gonflé le nombre de salariés de la FIF.

En effet, la première responsable du Comité exécutif non élu de l'organe de gestion du football ivoirien a ajouté aux employés déjà présents à la maison de verre, qu'elle trouvait nombreux, son directeur de communication,  son assistante, la secrétaire générale du comité de normalisation.

Comme si les agents de la société de gardiennage, dont les services sont utilisés pour sécuriser les locaux de la FIF, ne suffisaient pas pour remplir leur tâche, Mariam Dao Gabala a fait venir 4 gendarmes pour surveiller les lieux où elle règne en maître. Certainement que les mesures de sécurité qu'elle a prises ne suffisaient pas pour la rassurer, la présidente du CN-FIF a ressenti la nécessité de s'offrir un garde du corps. Pour ne pas faire les choses à moitié, elle a donné un garde du corps à son monsieur "compétition ", Simon Abé Adou.

Si nos calculs sont bons, Mariam Dao Gabala a ajouté 9 personnes au nombre des  travailleurs de l'institution fédérale qu'elle trouvait pléthorique.