Le prochain co-organisateur de la Coupe du monde - en 2026 - détient un record peu flatteur : le nombre de défaites en phases finales de Coupe du monde. Une marque qu'il a pris soin d'aggraver à Doha. Bien en place, les Mexicains ont subi la foudre de Lionel Messi à l'heure de jeu, concédant leur 28e défaite de leur histoire dans la compétition. En seulement 17 éditions.
Le plus jeune buteur : Pelé, encore lui
On ne compte plus les records explosés par le buteur auriverde tout au long de sa carrière. L'un des plus marquants : son but contre le Pays de Galles (1-0) à seulement 17 ans et 239 jours en 1958. Le jeune Pelé inscrit alors le seul but du quart de finale. Lors de cette édition, la Seleção remporte le premier de ses cinq titres de champion du monde. Le roi y inscrit un doublé en finale face à la Suède (5-2), devenant par la même occasion le plus jeune champion du monde de l'histoire.
Le joueur le plus âgé à disputer une rencontre : Essam El-Hadary, gardien pour l'éternité
Dans notre écosystème dicté par la jeunesse, Essam El-Hadary fait figure de vieux pharaons. Lors de la Coupe du monde en Russie, en 2018, le gardien égyptien est devenu le plus vieux joueur à disputer une rencontre de Coupe du monde. À 45 ans, 5 mois et 10 jours. Il a battu le record du gardien colombien Faryd Mondragon (43 ans et 3 jours en 2014).
Le but le plus rapide : Hakan Sükür, à toute vitesse
Même pas le temps de s'installer devant sa télévision, ouvrir le carton des pizzas et ressentir les premières frayeurs. Lors de la Coupe du monde 2002 en Corée du Sud, Hakan Sükür, l'attaquant turc, a inscrit le but le plus rapide de l'histoire de compétition. Au bout de... dix secondes et huit dixièmes, face à la Corée du Sud pour la troisième place. Il a ainsi succédé au Tchécoslovaque Vaclav Masek, buteur après quinze secondes de jeu face au Mexique au Mondial de 1962 au Chili. Une éternité pour Sükür.