La FIFA  a du mal à trouver la solution à cette équation difficile qui permettra à son poulain, Didier Drogba  de s’installer à la maison de verre de Treichville. C’est un secret de polichinelle de dire que l’organisation basée, à Zurich, en Suisse, se retrouve dans une situation des plus inconfortables à cause de Didier Drogba qui n’a pas pu obtenir les 8 parrainages nécessaires à la validation de sa candidature lors du processus électoral de la FIF qu’elle a arrêté pour installer un comité de normalisation. Selon des indiscrétions, l’instance dirigeante du ballon rond mondial est convaincue que celui qu’elle soutient pour le scrutin devant désigner le successeur du défunt président de l’institution fédérale, Sidy Diallo, et ce, malgré la réduction du nombre de parrainages, qui passe de 8 à 4 dans les textes révisés de la FIF, ne peut pas obtenir les parrainages nécessaires à la validation de sa candidature. Sachant qu’il n’est pas du tout simple à trouver une solution à ce problème, parce que des clubs proches de son protégé l’ont lâché, Elle est inquiétée par le cas de Didier Drogba.

 La situation de l’enfant de Niaprahio est devenue un casse-tête pour Gianni Infantino. Et pourtant, il doit trouver une solution à cette équation difficile, mais qu’il faudra résoudre rapidement afin de permettre à son poulain de s’installer à la tête de l’organe de gestion du football local. 

Après son échec, au Cameroun, d’imposer son candidat à l’élection à la présidence de la FECAFOOT, remportée du reste par Samuel Eto’o, c’est la preuve que malgré sa puissance, la FIFA ne réussit pas toujours ce qu’elle entreprend, le patron de cette institution, l’Italo-Suisse, a trouvé une solution qui arrange Didier Drogba. Écarter ses adversaires, à savoir Sory Diabaté et Idriss Diallo, de la course à la présidence de la FIF. Ces derniers, qui ont appartenu aux instances dirigeantes de la Fédération de football, seraient sanctionnés pour mauvaise gouvernance. D’où l’audit à charge commandité par le CONOR qui accuse le COMEX sortant de malversations. Par ailleurs,  le CN-FIF remonte à la gestion de Jacques Anouma, dont Idriss Diallo est comptable, mais pas responsable.