Election à la présidence de la FIF : Le ridiculisme exacerbé de la CAF-FIFA

Sonnës par le quitus accordé au Comité exécutif sortant de la FIF, les parrains extérieurs de l'un des prétendants à la succession du défunt locataire de la maison de verre de Treichville, Sidy Diallo, se signalent.

En effet, dans un courrier adressé au CONOR, le secrétaire général de la CAF, Véron Mosingo-Omba, dit que la FIFA renouvelle sa confiance au CN-FIF. Un non-sens. Car, comment peut-on renouveler sa confiance à un comité, dont le mandat prend fin en mars prochain.

Par ailleurs, la CAF est-elle un prolongement  de la FIFA pour que le secrétaire général de l'organisation basée, au Caire, en Égypte, puisse parler au nom de l'institution dirigée par Gianni Infantino.

Que le patron de la CAF, Véron Mosingo-Omba, le pion de l'Italo-Suisse, sache que sa sortie, qui est une immixtion inacceptable dans le processus électoral de la faîtière de la discipline reine, n'empêchera pas Sory Diabaté de devenir le prochain président de la FIF.

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