Ils disaient que les audits diligentés par le CONOR montraient les malversations du Comité exécutif sortant de la FIF.

Par conséquent, la FIFA allait rejeter la candidature de Sory Diabaté issu de l'ancien staff dirigeant de la faîtière de la discipline reine. Et ce, pour mauvaise gouvernance du COMEX sorti de l'institution fédérale. Pour justifier la mise à l'écart du porteur du projet "Pour la grandeur du football ivoirien", les détracteurs de ce dernier avec pour chef de file la patronne du CN-FIF, Mariam Dao Gabala, ont propagé sur les réseaux sociaux les fausses informations sur le car régie, sur les 50 l d'eau consommez par chaque joueur de l'équipe de Côte d'Ivoire et par jour, sur le carburant du car des Éléphants...

Alors que les observateurs et les acteurs du ballon rond local attendent que l'organisation basée, à Zurich, en Suisse, sanctionne le Comité exécutif dirigé par le défunt locataire de la maison de verre de Treichville, et ce, pour des malversations, on constate que ses accusateurs ont laissé tomber les audits de Gabala pour s'accrocher à autre chose: la mise sous normalisation de la FIF qui serait une sanction des ex-dirigeants fédéraux. Donc, le prétendant à la course au poste de président de l'organe de gestion du sport roi local, Sory Diabaté, issu de leurs rangs, sera écarté de la succession de Sidy Diallo.

Mesdames et Messieurs les adversaires de Sory Diabaté que devons-nous retenir de vos arguments du rejet de sa candidature par la FIFA ? 

Tantôt elle le sera parce des audits ont montré des malversations du Comité exécutif sortant de la FIF, tantôt elle le sera parce que la mise en place du CONOR est une sanction des ex-dirigeants de l'institution fédérale.

Que retenez-vous vers la fin ? Vous devez vous décider, car l'élection du président de la FIF aura lieu le 23 mars prochain.