Développement des infrastructures sportives

En ce qui concerne le développement des infrastructures sportives, feu Sidy Diallo avait une vision assez claire. C'est pourquoi, il s'est battu pour obtenir l'organisation de la CAN 2023. Cette organisation a permis à la Côte d'ivoire de se  doter d'infrastructures. 

La gouvernance du Comité exécutif sortant 

S'agissant de la gestion saine et équitable, Sidy Diallo, lors de  ses mandats, a mis fin à l'hégémonie de certains clubs qui se taillaient la part du lion au niveau de la répartition des subventions. Et ce,  sous le prétexte qu'ils étaient de grands clubs.

 Aujourd'hui, les subventions sont réparties de façon équitable. Mieux il a amélioré la capacité financière des clubs. 

Les audits de la FIF 

Les différents audits,  aussi bien des commissaires aux comptes, de l'inspection générale d'Etat et même de la FIFA, n'ont révélé aucune faute de gestion à l'encontre de la gouvernance de Sidy Diallo. 

La situation du sport roi

La situation du football ivoirien n'est pas déplorable ou à déplorer. Nous n'avons pas à rougir des résultats sportifs actuels. Le vrai  problème, c'est que le football ivoirien est malade de la vision erronée des dirigeants de clubs et non de la gestion de la fédération. 

Formation des encadreurs 

S'agissant des encadreurs, sous les mandats de feu le président Sidy Diallo, la FIF n'a jamais autant formé. Les chiffres sont là. 

Avoir un système de jeu uniforme dans toute la Côte d'ivoire  paraît impertinent et utopique. Chaque encadreur met en place le système de jeu qui correspond le plus à sa sensibilité. Parler d'un système de jeu uniforme est stupide.

Pour rappel, de  91 on est passé à 350 encadreurs et entraîneurs formés et diplômés. 

La DTN a identifié à ce jour 700 centres de formation.