Alors que le processus électoral était lancé, la FIFA est intervenue dit-elle parce qu'il a été bloqué et n'a pu aller à son terme.  En réalité, l'organisation basée, à Zurich, en Suisse, a volé au secours de son protégé qui n'avait pas pu obtenir les parrainages nécessaires à la validation de sa candidature. 

S'agissant des parrainages, on sait que les textes de l'institution fédérale ne sont pas précis sur la question du parrainage unique ou double. Quand c'est le cas, on se réfère aux textes de la FIFA. Voici ce que  disent les textes de la FIFA sur la question du parrainage:  "Le parrainage ne peut faire l'objet d'un double partage...''.  On se demande pourquoi la FIFA n'a pas réglé les problèmes de parrainage survenus dans le processus électoral de la maison de verre de Treichville? 

Par la suite; Gianni Infantino, le patron du football mondial, a installé un comité de normalisation à la tête de l'organe de gestion du sport roi local. Et ce, pour normaliser, selon lui,  l'environnement du ballon rond ivoirien. Avec pour mission, la gestion des affaires courantes, le toilettage des textes et l'organisation du scrutin devant désigner le successeur du défunt président de la FIF, Sidy Diallo. Cela veut-il dire que  la Fédération de football avait un problème de texte ? Par ailleurs, on a appris que les parrainages passeront de 8 à 4. 

Il faut noter que la FIFA s'est aperçue que la majorité des membres actifs de la faîtière du ballon rond local soutient majoritairement un  candidat autre que son poulain. C'est pourquoi elle  a proposé un consensus autour d'une candidature unique lors du scrutin à venir du président de la FIF. 

La non réalisation de ce consensus est à l'origine, aujourd'hui, du refus de la FIFA et de ses employés du CN-FIF  d'organiser l'élection du futur patron du football ivoirien. 

Par ailleurs, pour faire passer sous silence l'élimination des Éléphants pour le Mondial 2022, au Qatar, le CONOR  par l'entremise de sa présidente, a révélé la fausse affaire des 50 l d'eau par joueur et par jour.