Sachez que ceux qui ont voulu empêcher la tenue de l’AGO du samedi 29 dernier sont retournés au tribunal le lundi 31 octobre. Comme il fallait s’y attendre, ils ont encore échoué. Monsieur Saki Gutenberg, le vrai plaignant, reproche au Président de diriger sans contrôleur. Il oublie que c’est lui-même qui a supprimé le contrôle.
Prenez l’AGO qui devait se tenir le 30 décembre 2017 a été reporté au 6 janvier 2018, c’est parce que le désormais tristement célèbre Konan Adolphe avait tenté par une action en #justice, de l’annuler. Le bureau exécutif dont Saki Gutenberg était le chargé des affaires juridiques avait fini par le suspendre le 10 Mai 2018.
Non seulement il n’avait payé aucune cotisation pendant 4 ans, mais il ne respectait rien dans le club. Et c’est cet individu qu’il a lui-même sanctionné que Saki Gutenberg prend pour modèle aujourd’hui. Quant à Némégnan Emile, il est inutile de parler de lui. Vous le connaissez suffisamment. Alors quand monsieur Saki utilise de telles personnes pour arriver à ses fins, comment veut-il qu’on le prenne au #sérieux.
Un contrôleur et un médiateur avaient été désignés lors de l’AG de février 2014. Ces deux postes ont été #supprimés au cours de l’AGO de janvier 2018 parce que, selon les explications de Saki Gutenberg ces responsables n’ont posé aucun acte. Et c’est lui qui crie sur tous les toits aujourd’hui que sans contrôleur, l’Africa va mourir. Le comble du ridicule !!
La création de la société de gestion est une exigence statutaire. Mais là où ça faire rire, c’est que c’est Saki qui en parle. Lui qui a fait 5 ans au bureau exécutif sans rien créer. Et puis, où sont passés les belges qui étaient venus en février 2018 Pourquoi Saki n’en parle pas ?
Qu’est-ce qu’il cache ?
"Pour terminer, je voudrais pour dire un grand merci aux membres associés mobilisés qui m’informent. Ils ont fini par comprendre que je me bats pour le club. Une association n’est pas un parlement dans lequel il y a un pouvoir et une opposition. Quand on a élu un président, on doit le soutenir. C’est ce qu’a rappelé Salif Bitogo le samedi dernier."