On entend dire des éternels négateurs que l'élection à la présidence de la FIF est terminée. Et cela, lorsque nous publions un post relatif à leur champion qui est arrivé en dernière position de ce scrutin qui a eu lieu, à Yamoussoukro, le 23 avril 2022. 

Et pourtant, ces éternels négateurs ne cessent de répéter en comparant les actions menées par le nouveau Comité exécutif de la FIF à celles de l'ancien buteur de Chelsea:" Ils offrent 100 millions FCFA à chaque club de Ligue 1 alors que DD proposait 150  millions FCFA,  si c'était DD, il allait avoir de grands sponsors, les clubs n'ont pas élu DD parce qu'ils aiment la médiocrité, DD est le seul qui peut développer le football ivoirien, sans DD , le sport roi local restera dans la médiocrité,  le tchin-tchin est mieux que les compétitions organisées par la Fédération de football...".

 Les propos ci-devant sont tenus par les drogbaphiles. Là, ils semblent oublier que l'élection à la présidence de la FIF  a pris fin le 23 avril dernier. Et a été remportée par Idriss Diallo, le porteur du projet "Rassembler pour développer". Par conséquent, il faudrait le laisser dérouler les réformes qu'il a promises pour booster le sport roi local.

 Au lieu de permettre au vainqueur du dernier scrutin présidentiel de la faîtière de la discipline reine  de diriger, dans la quiétude, la maison de verre de Treichville, les partisans de DD, en mauvais perdants, tentent, en vain,  de parasiter sa gouvernance. Et ce, en le calomniant, en attaquant ses réformes, en le traitant de menteur ...

 En agissant de la sorte, les soutiens du projet" Renaissance" ignorent, royalement, que le scrutin qui a désigné le  successeur du défunt président de l'institution fédérale a eu lieu, le 23 avril 2022, dans la capitale politique et administrative de la Côte  d'Ivoire. Et que celui, qu'ils soutenaient  est arrivé en dernière position de cette joute électorale. 

Quand nous publions des postes concernant  DD, on nous rétorque que l'élection présidentielle de la Fédération de football est derrière nous. 

A la vérité, les drogbaphiles font preuve d'une mémoire. Sélective sur la question de la fin du processus électoral de la FIF. 

Eux, ils peuvent comparer les promesses de campagne de leur champion à celles du vainqueur de l'élection du 23 avril dernier. Ça c'est normal. Mais quand nous écrivons des lignes sur l'ex-capitaine des Éléphants, on nous rappelle à l'ordre en nous signifiant que l'élection à la présidence de l'organe de gestion du football ivoirien a pris fin. 

A dire vrai, les drogbaphiles s'accordent  la liberté de penser, de s'exprimer et d'agir.. Et  nous dénient ce droit, et ce,  tout en nous imposant un agenda. Une dictature qui ne dit pas son nom. Leur  attitude est inacceptable et répugnante.