l se dit supporter du club vert et rouge. Avec un tel statut, il devait, en principe, être regardant sur les résultats de la formation de son coeur. C'est cela l'attitude du vrai fan d'une association sportive. Il exige que son équipe soit toujours plus performante.
Au lieu de s'interroger sur les raisons des résultats en dents de scie de l'Africa, l'enseignant supporter, comme à son habitude, défend la direction du club vert et rouge. Il se comporte comme un syndicaliste qui soutient le patronat. Une déviance qui sent à mille lieues la compromission.
Dans un message qu'il m'a envoyé, il y a quelques heures, l'avocat de Narcisse Téa Kuyo, qui se moque royalement de la pente glissante sur laquelle se trouve les Aiglons battus par la modeste équipe des II Plateaux FC, lors du premier tour de la Coupe nationale, joue les donneurs de leçons. En matière de déontologie journalistique. Selon ce dernier, informer la population consiste à soutenir toutes les rumeurs véhiculées au sujet des dirigeants de la FIF. Pour l'enseignant qui cautionne la mauvaise gestion de la formation vert et rouge, informer la population, sans parti pris, revient à participer aux attaques contre l'administration de l'organe de gestion du sport roi local. Drôle de conception du rôle du journaliste !!!!!
Et dire qu'une telle position est celle d'un enseignant censé transmettre la connaissance à la jeunesse ivoirienne.
On comprend mieux l'état de déliquescence avancée dans lequel se trouve l'école ivoirienne. Et cela, avec un tel enseignant ignorant.
Monsieur l'enseignant, vous devez retenir que la déontologie du métier de journaliste recommande qu'on évite la propagation de rumeurs. Par conséquent, donner la bonne information sur un sujet relatif à la Fédération de football, ce n'est pas être un propagandiste. Cette façon de faire, même si cela se fait de façon répétitive, consiste à affirmer des choses, et ce, avec des arguments et surtout des preuves. Ce n'est nullement interdit en journalisme.
Pour rappel, un supporter qui défend « bêtement » le management du directoire du club vert et rouge, à l'origine de ses mauvais résultats, est celui qui sèche son habitat là où le soleil brille et qui le pousse à fermer les yeux sur la mauvaise gouvernance de son président Kuyo Téa Narcisse.