En observant leur comportement, nous parlons des créateurs de la nouvelle union des footballeurs ivoiriens et de leurs soutiens, nous avons du mal á comprendre la logique qui sous-tend leur démarche.
A la vérité, nous n'arrivons pas á les suivre.
En effet, ils se réjouissent d'appartenir á la FIFPRO, ils ne jurent que par elle, mais ils sont incapables de se passer de la reconnaissance de la FIF qu'ils snobent.
Ils disent ne pas avoir besoin de la reconnaissance de l'organe de gestion du football ivoirien, pour fonctionner, parce qu'ils sont reconnus par la FIFPRO. C'est archifaux.
Ce que ces gens refusent de dire, par mauvaise foi, à leurs suiveurs, c'est que L'AFI n'a pas besoin de la FİFPRO pour exister et exercer en international.
L'AFI est un membre actif de la FIF qui elle-même est une association membre de la FIFA, or les textes de la FIFA sont claires : toutes les entités reconnues par ses associations membres sont automatiquement reconnues par la FIFA.
En conséquence, l'AFI est reconnue par la FIFA. Elle peut, donc, exercer, dans le football, á travers le monde.
Ce n'est même pas un débat qui se mène, mais comme à leurs habitudes, ces tortionnaires abusent de l'ignorance de bon nombre de leurs suiveurs.
Vous comprenez, donc, pourquoi leurs communicants insistent pour dire que " la FIF se doit de reconnaître le nouveau syndicat".
En réalité, sans une reconnaissance de la FIF, ce syndicat ne peut pas exercer dans le domaine du football au plan local et international.
Voici la réalité qu'ils cachent.
C'est á croire qu'ils ont perdu la logique et surtout le bon sens.
Les protégés de la FİFPRO, les " enfants gâtés de ce syndicat de footballeurs,
Dans le prolongement de la crise née á l'occasion de la campagne á l'élection á présidence de la FİF, et que les mauvais perdants de ce scrutin poursuivent, veulent voir disparaître l'Association des footballeurs ivoiriens(AFI). Et cela, parce qu'elle n'a pas voté leur candidat. Ils ont, donc, décidé de "tuer" l'organisation dirigée par Cyrille Domoraud.
Pour ce faire, ils ont créé une nouvelle association de footballeurs ivoiriens, hélas, non reconnue par l'organe de gestion du ballon rond local. Elle est appuyée par la FIFPRO dans sa croisade contre l'AFİ.
Le communicant en chef de la nouvelle union des footballeurs locaux, qui ne jure que par la FIFPRO, veut obliger la FIF á reconnaître ceux pour qui il travaille. Cela signifie qu'il veut une chose et son contraire.
Celui qui traite les autres communicants de caisse de résonance, alors qu'il n'est pas dirigeant de la nouvelle association de footballeurs, ni membre, qui dit une chose et son contraire, a fait, comme á son habitude, une publication qui nous a fait bien rigoler. Dans laquelle il a écrit que ses amis étaient reconnus á l'international et non l'AFI condamnée á se contenter des affaires locales.
Et que la nouvelle association de footballeurs ivoiriens, reconnue par la FIFPRO, qui ne peut travailler avec les locataires de la maison de verre de Treichville, qui ne reconnaissent qu'une seule organisation de footballeurs par groupement, veut finalement avoir la caution de la Fédération de football.
Pour rappel, la nouvelle union de footballeurs et ses soutiens utilisent le nom de la FIFPRO pour donner l'impression de posséder un pouvoir irrésistible. ıls vantent leur positionnement á l'international pour se faire accepter par les footballeurs ivoiriens, mais sont conscients qu'ils ne peuvent mener leurs activités sans la reconnaissance de la FIF.
Si le ridicule tuait, ces derniers ne seraient plus de ce monde, car ils sont hors de toute logique.